Adhérez au Parti Socialiste

  • Cliquez ici

mars 2013

lun. mar. mer. jeu. ven. sam. dim.
        1 2 3
4 5 6 7 8 9 10
11 12 13 14 15 16 17
18 19 20 21 22 23 24
25 26 27 28 29 30 31

Catégories

  • Actualité
  • Actualité locale
  • Actualité parlementaire
  • Actualité sociale
  • Antonio Oliveira
  • Catherine Picard
  • Conseil Municipal
  • Développement durable
  • Engagement citoyen et solidaire
  • Environnement
  • Europe
  • Gilbert Métais
  • International
  • Jean Seignolles
  • L'édito de la semaine
  • Liens externes
  • Logement
  • Luc Delaby
  • Législatives 2007
  • Malakoff
  • Michaël Goldberg
  • Michel Pachkoff
  • Mireille Moguérou
  • Parti Socialiste
  • Pierre Avril
  • Politique nationale
  • Présidentielles 2007
  • Quartiers
  • Religion
  • Région
  • Régionales 2010
  • Sabrina Guérard
  • Services publics
  • Sophie Bacelon
  • Sports
  • Sud de Seine
  • Thibault Delahaye
  • Transports
  • Tribunes
  • Témoignages
  • Urbanisme
  • Vie de la section
  • Vie du PS
  • Voirie
  • Élections européennes 2009
  • Élus

Parti socialiste

  • Catherine Picard
  • DA Malakoff
  • Fédération PS du 92
  • Le groupe PS au Conseil Général
  • Malakoff à gauche
  • Mouvement des Jeunes Socialistes
  • PS Bagneux
  • PS Châtillon
  • PS Clamart
  • PS Montrouge
  • PS Vanves
  • Sections PS des Hauts de Seine
  • Site PS national
  • UDESR 92

Gauche française

  • Parti de Gauche
  • Les Verts
  • Parti Radical de Gauche
  • Mouvement Républicain et Citoyen
  • Parti Communiste Français

Autres

vendredi 10 avril 2009

21-15

spacer

La semaine qui s’achève a été rude pour le Président Sarkozy. Les Socialistes ont été offensifs pour contredire la politique présidentielle méprisante et libérale, et cela a porté ses fruits.

 

Du côté de Dakar

En début de semaine, dans son discours à Dakar, Ségolène Royal a offert une autre lecture de l’Afrique que celle, très choquante, prononcée par Sarkozy en juillet 2007.

 

Le Président affirmait que « le drame de l'Afrique, c'est que l'homme africain n'est pas assez entré dans l'histoire. Le paysan africain, qui depuis des millénaires, vit avec les saisons, dont l'idéal de vie est d'être en harmonie avec la nature, ne connaît que l'éternel recommencement du temps rythmé par la répétition sans fin des mêmes gestes et des mêmes paroles ».

 

Ségolène Royal a demandé « pardon pour ces paroles humiliantes et qui n’auraient jamais dû être prononcées et qui n’engagent pas la France. Car vous aussi, vous avez fait l’histoire, vous l’avez faite bien avant la colonisation, vous l’avez faite pendant, et vous la faites depuis ». Elle a rajouté que « Oui, la France doit honorer sa dette à l’égard de l’Afrique et que les Français doivent apprendre à l’école ce qu’ils ont reçu de l’Afrique. Quand notre territoire national fut envahi, l’Afrique fut un refuge et une aide pour les forces de la France Libre. Les soldats africains ont contribué, sur tous les champs de bataille, à inverser le cours de l’histoire. Le 8 mai 1945, sans l’Afrique et les Africains, jamais la France n’aurait retrouvé sa liberté ».

Le discours présidentiel de Dakar étant impossible à défendre, le Président a envoyé ses portes-flingues tirer à tout-va et détourner le fond du débat vers la polémique et les propos sexistes et racistes. Au sujet d’une photo de Ségolène Royal parue dans Le Parisien, un élu UMP la montre, hilare, à ses collègues du conseil de Paris. Puis au journaliste de Canal plus qui lui demande ce qu’il a vu chez Ségolène Royal à travers cette photo, l’élu UMP répond: «Ma femme de ménage». Ségolène Royal y porte un boubou bleu…

 

 

Les Socialistes prêts pour les Européennes

Mardi, l’ensemble des secrétaires de section franciliens étaient réunis à l’Assemblée National autour de notre secrétaire nationale, Martine Aubry, d’Harlem Désir, tête de liste pour les Européennes en Île-de-France, David Assouline et Jean-Christophe Cambadélis, pour une réunion de travail sur la campagne des élections européennes.

 

Le Parti Socialiste est le premier parti français prêt et organisé pour les élections de nos eurodéputés. Toutes nos listes ont été validées par les militants et tous nos candidats sont connus. Nous disposons d’un programme commun à l’ensemble des partis socialistes et socio-démocrates de l’Union Européenne et c’est une première dans l’histoire politique de l’UE. Nous avons également un texte d’orientation adapté à notre pays. Et les Socialistes européens soutiennent dès à présent la candidature de Poul Nyrup Rasmussen à la tête de la Commission Européenne , à la place du libéral Barroso.

 

De son côté, l’UMP n’a toujours pas de programme et toujours pas de liste. Gaudin est même prêt à jeter l'éponge tellement c'est complexe ! Chez Bayrou, on n'a annoncé que les têtes de listes. Au PC, ce n’est pas fait parce qu'il y a de la friture avec Jean-Luc Mélenchon et son Parti de Gauche. Et c'est le bazar chez Besancenot parce que la LCR a tout raflé sur les listes du NPA !

 

Pour visiter notre site de campagne sur les élections européennes : www.changerleurope.eu

 

 

Camembert Président

C’est par cette formule ironique que le journal Libération saluait le camouflet infligé par le Conseil d’État au CSA à propos du temps de parole de Sarkozy.

 

Le Conseil d’État a ainsi estimé que le CSA ne peut « exclure par principe toute forme de prise en compte des interventions du président de la République et de ses collaborateurs dans les médias ». Cette décision, prise par la plus haute formation de la juridiction administrative, rappelle ainsi son devoir au CSA : celui-ci doit garantir le pluralisme des opinions. Elle exprime aussi une évidence que refusait d’admettre le CSA : le chef de l’Etat est à la fois au-dessus des partis et acteur politique majeur.

C’est donc une victoire pour la démocratie et la liberté de paroles, grâce à l’action de nos députés socialistes François Hollande et Didier Mathus qui avaient saisi le CSA, puis le Conseil d’État.

 

Pour lire la décision du Conseil d’État : www.conseil-etat.fr/ce/jurispd/index_ac_ld0911.shtml

 

 

Le rejet d’Hadopi

Enfin, hier, les Socialistes qui avaient bataillé longuement contre la loi Hadopi , techniquement impossible à mettre en œuvre et déontologiquement impossible à admettre, ont remporté une belle victoire par le rejet du projet de loi à l’Assemblée Nationale. 21 voix contre et 15 pour.

 

Les députés UMP, sûr d’eux ou refusant de prendre part à un vote pour une loi qui ne fait pas l’unanimité dans le clan présidentiel, étaient aux abonnés absents. Le premier d’entre eux, Jean-François Coppé, n’ayant même pas pris la peine de se déplacer dans l’hémicycle pour voter.

 

Le député socialiste de Paris, Patrick Bloche, a ainsi évoqué « une défaite politique pour Nicolas Sarkozy à titre personnel ».

 

Pour voir le vote :


Rejet de l'Hadopi à l'Assemblée le 9 avril 2009
envoyé par Mediapart

 

Dans les coulisses de l’Assemblée au moment du vote : auxmarchesdupalaisbourbon.blogs.liberation.fr/2008/2009/04/loi-internet-ha.html

Rédigé le vendredi 10 avril 2009 à 10h41 dans Actualité parlementaire, Parti Socialiste | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)

samedi 20 décembre 2008

Travail du dimanche : retour vers le passé

L’extension du travail du dimanche est une réforme inefficace sur le plan économique, dangereuse pour les salariés et néfaste pour la vie sociale.

En pleine crise économique et sociale, Nicolas Sarkozy veut poursuivre ses coups de boutoir tout azimut contre le droit du travail avec toujours la même logique : précariser toujours plus les travailleurs, décentraliser au maximum les négociations entre les partenaires sociaux pour affaiblir les rapports de force au détriment des salariés, pour les pousser à accepter « par libre choix » de travailler plus, de faire des heures supplémentaires, de travailler jusqu'à 70 ans, de travailler le dimanche. Mais où est le libre choix quand il faut survivre parce que les salaires ne suivent pas et que tout est fait pour que les pensions de retraite soient, demain, faibles ?

Le Parti socialiste s’oppose avec force à cette nouvelle réforme à rebours du progrès, qui poursuit ce retour vers les rapports sociaux des débuts de l'ère industrielle que suit méticuleusement un président de la République, visiblement plus tourné vers le XIXe siècle que vers l'avenir.

spacer

Dire que travailler le dimanche relancerait l'emploi par la consommation revient à dire que les français épargneraient en semaine et rempliraient leur bas de laine faute de pouvoir acheter le dimanche. C’est le pouvoir d’achat qui génère la croissance, et celui-ci est d’abord commandé par les salaires. Une étude de l’OFCE sur le cas allemand montre que l’ouverture des magasins le dimanche n’a modifié ni les comportements de consommation, ni les comportements d’épargne.

Au contraire, la généralisation du travail dominical détruirait de l’emploi, en pénalisant les petits commerces qui emploient à chiffre d’affaires égal, trois fois plus de salariés que dans les grandes surfaces : seules les grandes enseignes auraient en réalité les moyens financiers et humains de faire travailler ainsi leurs salariés, ce qui créerait une situation de concurrence déloyale très défavorable aux petits commerçants et aux artisans. De l’avis d’une majorité d’experts et des organisations syndicales et patronales représentant les PME et les petites entreprises, ce sont des dizaines de milliers d’emplois qui seraient ainsi menacés dans le petit commerce.

L’ouverture des commerces le dimanche, c’est donc paradoxalement la certitude d’une augmentation immédiate des prix. Les surcoûts des charges fixes et les éventuelles majorations de salaires seraient évalués à 4 ou 5 % pour tous les consommateurs, y compris ceux achetant en semaine. Ouvrir un dimanche coûte trois fois plus cher qu’ouvrir un jour de semaine à cause des charges salariales, des frais de communication, ou des charges de fournisseurs augmentées par les prestations dominicales.

L’extension du travail du dimanche est également une aberration sur le plan environnemental. Après l’adoption du Grenelle de l’environnement, la course à la consommation suscitée et non raisonnée est malvenue. Au contraire, chauffer, éclairer, climatiser, transporter produits et consommateurs un jour de plus, est évidemment générateur de surconsommation d’énergie.

Libéraliser le travail le dimanche est une réforme dangereuse pour les salariés.

Le discours sur le volontariat des salariés est inacceptable. Dans le secteur, le taux de syndicalisation est de l’ordre de 2 % et montre l’impossibilité de la vérification du volontariat. Particulièrement en période de crise économique, la subordination du salarié à son employeur est évidente et les éventuels chantages à l’emploi réduisent à néant toute liberté de choix des salariés, notamment au moment de l’embauche.

Elle l’est encore plus dans ce secteur du commerce qui cumule emplois précaires, saisonniers, à temps partiel, peu qualifiés et très féminisés. L’idée trop largement répandue d’un salaire doublé le dimanche est fausse et les majorations de salaire sont parfois inexistantes, variables selon les cas, atteignent rarement 100 % et vont au-delà exceptionnellement. Le projet de loi ne prévoit aucune généralisation de la majoration.

Un choix de société que nous, Socialistes, récusons.

spacer

Si la loi instaurant le repos dominical remonte à 1906, elle trouve ses fondements dans un droit conçu d’abord pour les plus modestes et a traversé le temps simplement parce qu’elle est juste. La vie s’est organisée pour que les associations, le sport, la culture, la famille, entre autres trouvent leur espace-temps le plus souvent le dimanche. Ce jour n’est pas comme les autres et ne saurait le devenir.

Le travail le dimanche, au service de quelques intérêts particuliers, pénalisera d’abord les femmes, souvent les plus concernées. Il tuera le petit commerce au profit des grandes surfaces. Il pénalisera le lien social, déjà fragile particulièrement dans les grandes agglomérations visées. Il consacre un modèle de société centré sur le « Dieu consommation », et l’épanouissement individuel ne se résume pas à la satisfaction du besoin de consommer.

spacer

Nous ne sommes pas seuls dans la défense du repos dominical.

Toutes les organisations de salariés sont contre. Les syndicats de salariés (CGC, UNSA, CFDT, CGT, CFTC, FO…) sont contre toute déréglementation du travail dominical et pointent du doigt les répercussions néfastes que cela pourrait avoir sur l’économie et la société française. Les associations familiales (UNAF) mais également les institutions religieuses ont souligné leur opposition à une extension du travail le dimanche. La plupart des organisations patronales sont contre. La grande distribution, pourtant « gagnante » avec un tel projet, est elle-même, loin d’être enthousiaste sur le sujet : « "Nous n’avons pas besoin d’ouvrir le dimanche, il n’y a pas de demande », constatait le Directeur d’une grande marque de distribution française. L’Union Professionnelle Artisanale (UPA), la Fédération Nationale de l’Habillement (FNH), la Confédération de l’Alimentation en Détail (CGAD) ou encore la Confédération Générale des Petites et Moyennes Entreprises (CGPME) : toutes analysent l’ouverture des commerces le dimanche comme destructrice d’emplois.

Certains sondages manipulent l'opinion, comme ce fut déjà le cas sur la durée du travail parce que le point de vue de tous, travailleurs, retraités, inactifs, peut prendre le contre pied du point de vue des premiers concernés : les travailleurs salariés. Si les français sont favorables en tant que consommateurs –comment en serait-il autrement-, ils sont majoritairement défavorables en tant que salariés comme le montre un récent rapport du Centre de Recherche pour l’Étude et l’Observation des Conditions de Vie (Crédoc) : une enquête réalisée en septembre 2008 montre que 52 % des personnes interrogées sont pour une ouverture des magasins le dimanche ; 61 % refusent de travailler ce jour-là ; et les personnes qui ont des proches travaillant dans le commerce sont opposées à l’assouplissement…

Rédigé le samedi 20 décembre 2008 à 00h26 dans Actualité parlementaire, Actualité sociale | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)

lundi 28 juillet 2008

Pour obtenir l'abandon du fichier EDVIGE

Je vous appelle à signer cette pétition que j'ai déjà signée en tant que premier secrétaire fédéral
nonaedvige.ras.eu.org/
Comptant sur vous pour cette mobilisation
Pascal Buchet
Premier secrétaire fédéral PS 92
J'ai aussi signé cette pétition car elle est contraire à nos valeurs. Par conséquent, je vous invite à la signer.
Antonio OLIVEIRA
Secrétair

gipoco.com is neither affiliated with the authors of this page nor responsible for its contents. This is a safe-cache copy of the original web site.