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Le changement, c’est la réalisation de l’engagement 34 du candidat François Hollande : créer 150 000 emplois d’avenir en faveur des jeunes de 16 à 25 ans (jusqu’à 30 ans pour les travailleurs handicapés), peu ou pas diplômés pour leur permettre de rentrer dans la vie professionnelle et d’acquérir una vraie qualification et un emploi durable.
La mission locale intercommunale Archimède est très
mobilisée sur le dispositif des emplois d’avenir. Aux collectivités
locales et aux associations d’y
répondre. Dans les 36 villes du
département, 1 400 emplois sont prévus. Le Conseil général des Hauts de Seine
n’en prendra aucun !
Le préfet a fait une répartion sur les 12 missions locales du département pour
2013 : sur le territoire des quatre villes de l’agglomération (Bagneux,
Clamart, Fontenay aux Roses et Malakoff), ça correspond à148 emplois d’avenir,
dont 18 dans le secteur marchand. Il reste donc 130 emplois d’avenir à pourvoir
dans les collectivités locales, dans les associations et chez les bailleurs
sociaux. Dans ce secteur non marchand, proportionnement au nombre d’habitants,
cela équivaut pour Malakoff à 27 emplois d’avenir. La municipalité a décidé de
s’engager à hauteur de 5 emplois d’avenir. Ce n’est bien sûr pas suffisant. Il
faut espèrer que ce n’est qu’un début, que la mairie verra dans cette mesure le
bénéfice de cette première expérience professionnelle pour les jeunes et l’encouragera.
Catherine Picard
Maire-adjointe PS de Malakoff
www.catherinepicard.net/
Rédigé le lundi 18 février 2013 à 17h03 dans Actualité, Actualité locale, Catherine Picard | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
La concertation pour le Plan
Local de l’Urbanisme (PLU) a largement commencé. Les premières réunions
publiques ont été remarquables par la qualité des interventions et l’envie
d’avancer ensemble.
Il faut dire que l’exercice n’est pas évident. D’abord parce que l’élaboration
de ce qui va constituer le futur visage de notre ville va durer environ 3 ans.
Ensuite parce que le PLU devra arbitrer entre des aspirations différentes,
souvent même contradictoires, parfois légitimes. Enfin, peut-être surtout,
parce qu’il faudra donner à un document très technique un contenu politique,
une vision, un projet pour notre territoire. Sans quoi ce PLU ne sera ni
compris ni partagé par tout un chacun. C’est dans cet état d’esprit que les socialistes
de Malakoff participent à cette démarche commune.
Les enjeux sont nombreux. Enjeux d'aménagement du territoire, pour répondre
notamment à cette réalité qu'est la "coupure" entre le nord et le sud
de Malakoff. Enjeux sociaux, avec la nécessité de perfectionner notre richesse
commune qu'est la mixité dans notre ville. Enjeux environnementaux, en
intégrant systématiquement un nécessaire développement durable dans tous les
projets. Enjeux économiques, avec par exemple le développement de nouveaux
commerces et la création d'emplois. Enjeu métropolitain, en repensant la place
de Malakoff dans ce qu'on appelle dorénavant "le Grand Paris".
Cette indispensable évolution doit être pensée, pour ne pas subir, pour ne pas
céder à l'improvisation. Elle doit être équilibrée, pour aller plus loin dans
le "vivre ensemble". Elle doit être organisée, parce que quelques
soient nos choix, il faudra anticiper les conséquences notamment sur les
transports, les équipements publics, les politiques sociales.
Malakoff a son histoire, son
identité, qui font notre fierté, pour nous toutes et tous, d'y habiter. Mais
c’est aussi un territoire vivant, dynamique. Voilà pourquoi nous ne devons ni
vivre l'élaboration de ce PLU comme un exercice imposé, ni céder à
l'immobilisme et au "surtout ne rien changer".
Pour cela, il faut une très large et sincère concertation, et nous vous
invitons à y prendre place.
Pour davantage de solidarité, de dynamisme territorial, de mobilité, de
vitalité économique.
Pour que ce ne soit pas un rendez-vous manqué. Pour écrire une nouvelle page
dans la belle histoire de Malakoff.
Rédigé le lundi 11 février 2013 à 16h55 dans Actualité, Actualité locale, Thibault Delahaye | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
A l’occasion du 10ème anniversaire de la Loi SRU (ce lundi 13 décembre 2010), les Socialistes de Hauts-de-Seine dénoncent les « villes hors la loi ». Votée en 2000, la Loi SRU fixait un minimum de 20% de logements sociaux dans chaque commune. Dix ans après, les Socialistes des Hauts-de-Seine constatent que près d’une commune sur deux, ne respectent toujours pas la Loi dans le département du Président de la République.
Cette pénurie de logements sociaux dans de nombreuses communes du département met en évidence le choix des élus de l’UMP de créer des logements privés aux loyers chers, inaccessibles à près des 2/3 de la population. En effet, la plupart des logements construits ou réhabilités dans les communes UMP ont des loyers dépassant les 15 €/m² voire 20€/m² alors que près d’un habitant sur deux ne peut supporter un loyer supérieur à 8 €/m².
Pascal Buchet, 1er secrétaire fédéral PS92, dénonce les élus de l’UMP qui favorisent la spéculation en livrant leurs communes aux promoteurs immobiliers et de fait obligent les habitants et notamment les classes moyennes et les jeunes ménages à ne plus pouvoir se loger dans le département. Ces élus UMP préfèrent s’exonérer voire payer une faible amende prévue par la Loi plutôt que ce créer des logements aux loyers accessibles à la population. Cette situation est inadmissible en République et ce d’autant plus que le Préfet n’a plus les moyens de faire appliquer la Loi dans les Hauts-de-Seine.
Tête de file des Socialistes du 92, Pascal Buchet souhaite doubler la construction de logements sociaux dans le département (5.000 logements par an) mais aussi favoriser les opérations d’acquisition-amélioration pour lutter contre l’habitat dégradé et intégrer ces logements réhabilités dans le parc social. Il faut multiplier par 5 les amendes pour les villes hors la Loi et confier au Préfet le pouvoir de préempter ou de réquisitionner face aux maires hors la Loi. Il faut également baisser les loyers dans le logement privé et les charges devenus insupportables pour une grande majorité des habitants. Notre objectif est que chaque ménage ne dépense pas plus que 25 % de ses revenus pour se loger.
Rédigé le mercredi 15 décembre 2010 à 19h50 dans Actualité locale | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Comme tous les ans, la Ville de Malakoff organise sa « fête de la ville ». Elle aura lieu le week-end des 5 et 6 juin 2010. Plusieurs moments festifs sont organisés à cette occasion : spectacles de rue, concert, restauration.
La section de Malakoff du Parti Socialiste a l’habitude de réserver un chalet afin d’être au-devant des concitoyens et de rencontrer les partenaires associatifs et politiques de Malakoff. Notre présence y a toujours été dans le contexte de cette fête, à savoir festive (concert, repas citoyen…).
Cette année, cependant, nous n’avons pas réservé de chalet et nous ne serons donc pas présents en permanence. En effet, le souhait des Socialistes est de pouvoir, à l’occasion de cet évènement, échanger avec les autres associations, les autres partis, et habitants de notre, au sein de forums citoyens. Cette demande a été transmise à Madame le Maire, nous espérons que cette formule sera adoptée l’année prochaine.
Vous pourrez cependant trouver de nombreux militants Socialistes engagés dans des associations locales et une tournée est organisée le samedi après-midi : élus et militants socialistes visiteront les différents stands pour aller à votre rencontre.
Très bonne fête de la ville à tous !
La Fête de la Ville : Le programme
Rédigé le vendredi 04 juin 2010 à 17h17 dans Actualité locale, Malakoff, Élus | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Rédigé le lundi 06 avril 2009 à 19h33 dans Actualité locale, Antonio Oliveira, Malakoff, Services publics | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
Rédigé le lundi 30 mars 2009 à 23h43 dans Actualité locale, Actualité sociale, Malakoff, Vie de la section | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Près de 400 agents de
l'INSEE et des service statistiques ministériels ont manifesté leur
opposition au projet de délocalisation du gouvernement en faisant,
hier, une chaîne humaine autour de l'immeuble de l'Insee à
Malakoff. Chacun portant des lettres, on pouvait lire « Attention,
délocaliser nuit gravement à la qualité de la statistique publique
et affaiblit le débat démocratique », « Insee en danger
! », etc.
Depuis le mois de septembre, les statisticiens sont mobilisés pour éviter une délocalisation qui menace de déstructurer une organisation déjà fortement déconcentrée. Le Parti Socialiste a apporté à plusieurs reprises son soutien ce combat, à Malakoff et au niveau national. Plusieurs parlementaires socialistes, de toutes les régions, sont intervenus auprès du ministre de l'économie, pour l'instant en vain.
Les fuites systématiques sur les statistiques du nombre de demandeurs d'emploi vient rappeler chaque mois le mépris du gouvernement pour le respect de la statistique publique et de sa déontologie. Plus que jamais, les Socialistes de Malakoff soutiennent donc les statisticiens publiques en lutte.
Rédigé le vendredi 27 mars 2009 à 22h03 dans Actualité locale, Actualité sociale, Services publics | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Rédigé le samedi 14 février 2009 à 13h49 dans Actualité locale, Actualité sociale, Malakoff, Vie de la section | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Rédigé le vendredi 06 février 2009 à 01h09 dans Actualité locale, Malakoff, Vie de la section | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Dimanche
1er février, plus de 1 500 secrétaires de section venus de
l'ensemble du territoire national se sont retrouvés à la salle de
la Mutualité. Fabien Chébaut, le secrétaire de la section de
Malakoff, s'est rendu à ce grand rassemblement qui est aussi
l'occasion d'échanger et de témoigner de la diversité de la vie de
nos sections.