Pourquoi rendre accessible les sites web pour les personnes en situation de handicap ?

La définition de l’accessibilité

Cela se réfère au théorème de l’accessibilité dont l’architecte Pierre Grosbois traduit dans ces termes :

« une personne valide dans un espace inaccessible est une personne en situation de handicap et une personne en situation de handicap dans un espace accessible est une personne valide ».

Ce théorème permet d’affirmer que  tout ce qui est rendu accessible pour les personnes en situation de handicap  est utile à tous.

De la vision sociale de la personne en situation de handicap au consommateur : y a qu’un pas !

Cette loi en faveur des personnes en situation de handicap prend enfin en compte les personnes en situation de handicap comme des citoyens actifs.

Le  citoyen est défini comme étant:

« une personne  reconnu comme membre d’une cité, aujourd’hui d’un état) dans lequel il prend une part active pour participer au projet commun. Tout citoyen a des droits civils et politiques et des devoirs civiques dans la cité et face aux institutions ».

Un membre de la société de consommation et de l’information

La notion de « droits civils » est large. Elle fait appel à l’originalité, l’authenticité et l’autonomie de la personne. Ce à quoi répond les différentes applications de la loi du 11 février 2005.

Pour un citoyen responsable aujourd’hui, tout le monde se doit une personne informée et un consommateur responsable.

C’est une idée qui n’est pas rejetée par les personnes en situation de handicap. Pour cela, il faut proposer des outils qui leurs sont accessibles à tous.

Les personnes en situation de handicap sont des consommateurs ayant des besoins d’informations et de produits qui sont à la fois communs à tous mais avec des fonctionnalités accessibles pour eux.

Ils deviennent alors un public cible avec leurs propres caractéristiques à prendre en compte pour toute étude de faisabilité pour le lancement d’un produit ou d’un plan marketing.

Rédigé par les étudiants IDEMM de Lille3, dans le cadre d’un partenariat avec EuraTechnologies.

Création de la première Pirate Box lilloise !

P.Box Lille a vu le jour début Mars, suite à l’initiative de Jean Debaecker, doctorant et enseignant en Sciences de l’Information et du Document à l’université Lille 3.

En reprenant l’idée des “dead drops”, il voit en son projet un réseau alternatif (indépendant d’Internet), nomade et surtout libre. Un simple routeur, un boîtier, un système d’exploitation installé en 5 minutes, et le libre échange de données est alors possible. Pour l’instant, la P.box peut contenir 8 Go (le tout stocké sur une clé usb), et est accessible à tous sous condition d’avoir une connexion Wi-Fi.

Comme toutes les Pirate Boxes, ce dispositif permet de charger ou de télécharger des fichiers localement et anonymement, grâce à l’utilisation d’un réseau Wifi indépendant d’Internet.

P.Box Lille est un dispositif nomade, sa position peut être suivie en temps réel sur les réseaux sociaux (Facebook, Twitter, Foursquare, Flickr, Google+).

La Pirate Box lilloise a la particularité de ne contenir que des données libres de droits, et d’être notamment utilisée dans un cadre pédagogique proposant un échange de support de cours indépendamment de l’université . L’objectif est de permettre une libre circulation des données libres, et la circulation des savoirs.

Pour plus d’infos, et pour ceux qui s’intéressent au sujet, Jean Dabaecker présentera son projet assisté de sa fameuse Pirate Box le mercredi 14 mars lors d’un Open Coffee.

Rédigé par les étudiants IDEMM de Lille3, dans le cadre d’un partenariat avec EuraTechnologies.

Etienne Jambou témoigne sur l’Euratechnologies-Stanford Innovation and Entrepreneurship Program.

Magma Mobile, entreprise Parisienne qui a souhaité se joindre aux entrepreneurs de la région afin de prendre part à cette formation. 

Pionnier dans le développement de jeux sur mobiles, Etienne Jambou cofondateur et directeur marketing de la société française Magma Mobile a fait parti de la première promotion du Euratechnologies – Stanford Innovation and Entrepreneurship Program. A l’occasion du lancement de la nouvelle session nous l’avons rencontré pour une interview testimoniale un an après. 

Quel a été l’élément déclencheur de votre participation au STANFORD-EURATECHNOLOGIES INNOVATION AND ENTREPRENEURSHIP PROGRAM ? 

C’est le fait de pouvoir rejoindre un programme d’excellence, avec une université de renommé internationale qui a été l’élément déclencheur. Des intervenants prestigieux, une approche entrepreneuriale reconnue (Google, Sun, Cisco, N-vidia…ont été crées à Stanford), des méthodes éprouvées, sont autant d’atouts pour cette formation unique en Europe.  

Mais aussi le fait d’être accompagné d’autres entrepreneurs qui ont  les mêmes problématiques, mêmes contraintes que moi, et du coup de partager nos expériences, ce qui fait la force d’Euratechnologies. 

Par ailleurs le fait de garder son activité de tous les jours a beaucoup joué, car il y a beaucoup de programmes où l’on est exclusivement pris par la formation. Alors que là, la configuration du programme permet de rester à temps plein sur son activité.  

Quels bénéfices  avez-vous tiré de cette formation, pour votre activité ?

Le principal intérêt est de permettre de clarifier la vision d’une entreprise.

De se concentrer sur les éléments de différenciation de l’entreprise et de ses produits/services. De capitaliser sur la  réelle valeur ajoutée de son entreprise.

Cela permet également de construire et/ou de valider une stratégie d’entreprise, en axant sur les points clés de devloppement. On apprend à développer une vision à plus long terme à deux trois ans. Nous concernant, cela nous a permis de nous concentrer sur l’activité de création de jeux vidéo et de valider un business et revenue model vertueux.

Dans la formation on apprend aussi à coupler finance et produit, afin de monétiser au mieux les différents projets.

Le but est réellement d’aider les participants à prendre conscience de la valeur ajoutée et de la différenciation qu’ils peuvent avoir sur leur marché.

En quoi ce programme a fait évoluer votre vision d’entrepreneur ?

On ne peut pas dire que cela ait vraiment changé le fait pour moi d’être entrepreneur, je dirais que ça a été plus une réaffirmation qu’une découverte.

Ce qui permet par ailleurs d’évoluer c’est le fait d’être en compagnie d’autres personnes dans le même cas. Car on n’est pas forcement au contact d’autres entrepreneurs au quotidien. Ce qui permet également de s’enrichir des retours et expériences des autres.

La conscience internationale que l’on a, évolue et elle en est renforcée, Magma est une société française, même si on ne se considère pas réellement en tant que tel car la France représente seulement 4% de notre marché.

Si vous deviez décrire en un mot cette formation?

Je dirais « Catalyser » car elle offre la possibilité de se concentrer sur les choses les plus importantes de son activité. C’est une formation qui permet de se propulser vers un avenir plus fort, de plus grande envergure.

Balumpa start-up d’EuraTechnologies signe un partenariat avec Renault et sa tablette R-Link

A l’occasion du lancement du Salon de Genève 2012 (du 8 au 18 mars), la start-up Balumpa issue de l’incubateur EuraTechnologies, vient de conclure un partenariat avec le constructeur Renault pour intégrer l’ensemble de son service de sorties géolocalisées dans la nouvelle tablette tactile R-Link.

Renault : un partenaire de choix pour Balumpa

Pour Balumpa, ce partenariat est une excellente alternative à la stratégie de développement de l’entreprise : être le “réflexe” pour la découverte des sorties loisirs et culture près de soi. Ainsi, Renault, déjà bien connu pour ses équipements de type Carminat, se présente comme un partenaire de choix pour la stratégie de développement de Balumpa.

Si vous êtes le futur propriétaire de la ZOE ou de la nouvelle Clio, le principe est simple : à l’arrêt, sur une place de stationnement ou dans les embouteillages, vous n’aurez qu’à toucher la tablette pour trouver toutes les sorties et évènements culturels à proximité du lieu où vous vous trouvez.

Une application originale pour une voiture très tendance

Pour ceux qui ne connaissent pas encore cette tablette multimédia, elle équipera les nouveaux véhicules de Renault dès la fin de l’année 2012. La démonstration aura lieu sur le stand de la marque grâce à la nouvelle citadine 100% électrique de la marque : ZOE. Rlink (que vous prononcerez “AirLink”), est présentée comme une véritable solution dédiée à un usage en mobilité.

L’application Balumpa pour R-Link permettra au conducteur et à ses passagers d’avoir une idée précise des sorties et activités culturelles qui se déroulent autour d’eux : spectacle, concert, exposition,… Grâce aux fonctionnalités du GPS intégré dans la tablette, les utilisateurs pourront se rendre rapidement à un évènement comme pour une sortie à Lille par exemple !

Cette future application viendra également compléter une des multiples possibilités dont dispose Balumpa, à la fois site Internet, webapp (mobile), applis iPhone et Google Play Store (ex Android Market).

Les visiteurs du Salon de Genève auront le privilège de découvrir le logo de Balumpa sur le démonstrateur de R-Link Renault sur le stand de la marque dès le début du salon. Une belle réussite pour cette jeune entreprise issue du pôle d’excellence et d’innovation d’EuraTechnologies.

Si vous souhaitez contacter notre équipe pour plus d’informations ou réservez votre place sur le Salon, rendez-vous directement sur le site.

Appel d’offres du Conseil régional Nord-Pas de Calais : Construction du Musée du Louvre – Lens : numérisation d’oeuvres d’art

Type de Procédure : Appel d’offres ouvert

Type de Marché : Services

Date de remise de l’offre : 10/04/2012

Dans le cadre de la construction du Musée du Louvre – Lens (62), la région Nord-Pas de Calais recherche un prestataire pour la passation d’un marché à bons de commande pour la numérisation d’objets 2Det 3D.

Ces numérisations sont destinées à intégrer les installations numériques “Les objets des réserves” et “Les digitables”. La fourniture de ce livrable comprend toutes les étapes nécessaires :

Détail de l’avis :
 

• • Travaux préparatoires à la numérisation (organisation, dossier d’intervention, procédures, réunions préparatoires, repérage, mise au point technique, calibrations et réglages préalables, etc.)
• • Production numérique (numérisation, cadrage, traitement et finition des numérisations, optimisation des données)
• • Conversion, livraison et archivages des données
• • Echanges avec les divers intervenants.

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Stratégies Twitter pour twitter comme un pro

Cette semaine, est arrivé entre mes mains cet ouvrage, en lisant au dos j’ai trouvé ces questions que beaucoup de personnes se posent, qu’elles soient profanes en  termes de médias sociaux ou plus initiées :

• - Twitter, qu’est-ce que c’est ?
• - Comment ça marche ?
• - Quel intérêt pour le business ?
• - Quels risques à y aller ?
• - Quelles questions se poser avant de se lancer ?
• - Quelle stratégie adopter ?

Publié chez Learning Drip éditions, écrit par Thierry Faucher et Fréderic Bouchez de Learning Drip, entreprise basée au sein d’Euratechnologies. La promesse de Stratégies Twitter est donc de répondre à toutes les interrogations que l’on peut se poser sur le fameux réseau de micro blogging. Et de faire de vous et moi des twittos ou des twittas avisés. En permettant notamment aux lecteurs d’avoir toutes les clés pour définir et optimiser une stratégie Twitter pour le business.

Facile à prendre en main,  ce petit guide permet de se familiariser rapidement avec les différentes étapes, allant de la création du compte à l’optimisation du suivi des publications, en passant par la veille. Tout cela  dans le but  de donner  aux lecteurs toutes les clés pour devenir des influenceurs et des leaders d’opinion sur le réseau.

Pour 8€ les tweets, pseudos, et autres hashtags n’auront plus de secrets pour vous, et vous permettront en gazouillant de mettre en avant votre expertise et de promouvoir votre entreprise à moindres coûts.

Samir Euratechnologies.

Le shopping par la curation sociale, le nouvel eldorado du e-commerce ?

Dans le maelström des sites de vente en ligne et face au bruit qu’ils génèrent sur la Toile,  il devient compliqué pour l’internaute en quête de bons plans de s’y retrouver. Parallèlement, les marques et notamment celles appartenant aux TPE et PME, se perdent elles aussi. Elles parviennent difficilement à rendre visibles leurs produits sur le Web.Mais depuis peu, des plateformes dites de « curation sociale » orientées shopping, commencent à faire parler d’elles, à l’instar de Pinterest, qui vient de se hisser à la cinquième place du podium parmi les plateformes apportant le plus de trafics aux sites de e-commerce, devant Google+.

Qu’est-ce qu’une plateforme de curation sociale orientée shopping ?
A mi-chemin entre le blog, le magazine et une boutique en ligne, ce dispositif est un espace sur lequel il est possible d’agréger des créations et produits repérés lors de ses pérégrinations en ligne  autour d’une thématique donnée, et de constituer ainsi sa liste de produits, de la partager avec sa communauté, d’en garder une trace et de suivre celle d’autres curateurs aux goûts similaires. Chaque compte utilisateur d’une telle plateforme intègre un système de followers et following à la manière de Twitter. Il s’agit d’un véritable réseau social, qui se démarque en faisant la part belle à l’image, où des milliers de produits sont répertoriés par une communauté assurant une veille permanente et sur lesquels un lien redirige vers la source.

Quels bénéfices pour les marques ?
On peut dès lors comprendre l’intérêt pour les sites de e-commerce d’investir de telles plateformes. En jouant elles-mêmes les « curateurs », les marques peuvent diffuser, promouvoir et tester leurs produits auprès d’une communauté de connaisseurs et bénéficier du pouvoir de recommandation du service, précieux pour accroître leur trafic. Les images, avec les moyens donnés par ces dispositifs sociaux de curation, peuvent être organisées de façon à véhiculer à communiquer l’histoire de la marque et de dégager un fort capital émotion auprès des utilisateurs. Néanmoins, attention à l’autopromotion gratuite qui risquerait de lasser les curateurs… En effet, le vrai succès sur ce genre de plateforme réside dans l’association de valeurs autour d’univers marqués et inspirés. Pour créer et susciter de l’intérêt autour de ses produits, les marques ont tout intérêt à mettre en place une stratégie visuelle originale et prononcée dans les collections qu’elles proposent sur ce genre de service.

Rédigé par les étudiants IDEMM de Lille3, dans le cadre d’un partenariat avec EuraTechnologies.

Année 2011, année du Social Shopping ?

Le terme Social Shopping fut sur toutes les lèvres pendant l’année 2011. Le Shopping social, appelé aussi shopping communautaire est une application du e-commerce, qui a pour but de reproduire les habitudes d’achat des consommateurs en boutiques traditionnelles sur Internet.

De nombreux outils sont à la disposition des entreprises. Compte Twitter et page Facebook pour proposer des animations commerciales, mais aussi le +1 de Google ou Facebook Connect, qui permet de se logger à un site avec son compte Facebook et ainsi, d’en savoir un peu plus sur les usages de l’Internaute connecté.

Pour se différencier de ses concurrents, les sites de e-commerce utilise différents moyens : intégration de leur site dans Facebook, Co-Browsing (shopping entre amis) avec intégration d’un chat sur le site du commerçant ou encore plateformes 3D de shopping comme celle d’Aushopping pour Immoauchan.

Selon thesocialshopping.fr, les social shoppeurs se dégagent en deux grandes tendances pour l’année 2011. On cite le Co-Browsing avec charlotterusse.com et les Digital Mums, ces mères âgées entre 25 et 49 ans qui achètent beaucoup sur le web et sont actives sur les réseaux sociaux. Elles aiment partager leur avis, recommander un produit ou au contraire, faire savoir leur mécontentement.

Selon vous, quelles seront les grandes avancées du Social Shopping pour 2012 ?

Rédigé par les étudiants IDEMM de Lille3, dans le cadre d’un partenariat avec EuraTechnologies.

Autour du W3C : Nouveaux Standards et Web Mobile

Le centre de recherche Inria Lille – Nord Europe et EuraTechnologies vous invitent à une Conférence/débat : « Autour du W3C : nouveaux standards et Web Mobile »

Le W3C, World Wide Web Consortium, est un organisme international qui développe des standards pour le Web afin que les gens puissent communiquer efficacement à travers Internet.
Le Web étant un univers d’informations accessible en réseau, le W3C oeuvre pour le mettre à la portée de tous, quelque soit leur matériel, logiciel, réseau, langue ou handicap.

Inria s’est engagé dès l’origine aux côtés du W3C, dont il a  été l’un des trois co-fondateurs avec le MIT et la Keio Université au Japon. Afin de renforcer ses relations avec l’industrie et les acteurs de l’écosystème français, le W3C a ouvert en 2011 un Bureau France, porté par Inria.
Les présentations feront donc le point sur les nouvelles évolutions des standards du W3C, comme le HTML5 par exemple, et couvriront ce qui touche à l’interopérabilité, l’accessibilité, la portabilité…
Le programme (13h45 – 17h00)

Présentation du W3C par Bernard Odier (Inria et W3C)

Bernard Odier est Office Manager du Bureau-France du W3C. Il est également responsable sectoriel télécoms, réseaux et multimédia au sein d’Inria.
Il abordera entre autres les missions, les principaux membres, les principaux workshops, community groups, et autres assemblées, adhérer au W3C, quels avantages?, les activités networking prévues en France pour 2012

Les évolutions des standards du W3C : quelles innovations ? par Aurelien Verla et Giovanni Clement (WYGWAM)

Aurélien Verla, après un poste de Online Strategies and Tactics Manager, a pris la fonction de CTO chez Wygwam où il assure la responsabilité de la recherche et du développement technologie de la société.
Giovanni Clement est consultant expert (également chez Wygwam) en .NET  et Développement de projets .NET, ASP.NET ,MVC, HTML5 ..
“L’intervention abordera les innovations liées aux nouvelles évolutions des standards du W3C (HTML5, CSS) et Java.”

“Le Web, plate-forme de convergence des appareils mobiles connectés” avec Dominique Hazael Massieux (W3C)

Dominique Hazaël-Massieux est le responsable de l’activité Web mobile du W3C. Il est en charge des groupes de travail “Device APIs” et “Web Real-Time Communication” (accès depuis les navigateurs Web à de nouvelles fonctionnalités: appareil photo & caméra, batteries, carnet d’adresses, vidéo chat, etc.). Dominique s’occupe également de la partie standardisation du projet européen MobiWebApp. mobiwebapp.eu/

Les appareils mobiles, connectés en permanence, ont fait déferler les usages du Web dans de nouveaux contextes ergonomiques, géographiques et sociaux, que les concepteurs de sites Web doivent prendre en  considération pour satisfaire aux besoins de leurs utilisateurs. Le Web est appelé à jouer le rôle unique de plate-forme de convergence pour tous les nouveaux appareils connectés qui arrivent sur le marché : tablettes, téléviseurs, automobiles, etc. Lors de cette session, nous aborderons les techniques et les technologies qui permettent de donner aux usagers mobiles une  expérience utilisateur de première classe.

Conclusion par Bernard Odier
Bernard Odier conclura sur l’impact de la Recherche et des Standards sur l’Industrie du Multimédia : les sujets chauds du moment

Cette conférence sera animée par Nicolas Roussel, Directeur de recherche Inria, membre de l’équipe Mint (commune avec le CNRS et l’Université Lille1)

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