Lâm, un mec qui tient un blog de fille.

Nadine ne moque

Grosse angoisse ce soir: je dois écrire une chronique marrante sur Nadine Morano. Vous savez, les “Vis ma vie” de Fluide Point G, où je raconte une journée “typique” dans la vie de Justin Bieber, Katy Perry et autres Lady Gaga.

Problème ce coup-ci: je risque d’en chopper de gros, si je contrarie la gross-WOOPS. Bordel, elle voulait même attaquer les trolls de Youtube et Dailymotion. Du coup, et tel le journaliste écrasé sous la lourde chape de stress, je me demande si pondre ma chronique d’une traite ne se ferait pas plus facilement avec un trait.

Honnêtement, je n’ai jamais pris de cocaïne. N’empêche, ce fabuleux clip du fabuleux morceau “Glass Table Girls” de The Weeknd me donnerait presque envie de me vautrer dedans (et dans les années 80, aussi).

Et comme tout bon dealer, The Weeknd vous offre la première dose, puisque leur album est gratuit.

Bon, tout cela ne résoud pas mon soucis au sujet du sujet de mon texte. Hum, allons chercher un autre Magnum Menthe et re-mattons cette dope de clip. Ah Nadine, mon nez chargé dans ton décolleté saupoudré…

Un dimanche en famille

Aujourd’hui, plaisir regressif que de comater devant Roland Garros, après un gros déjeuner familial…

Cela me rappelle tous ces dimanches en famille, le déjeuner qui se termine à 17h00, le café – salade de fruits, la fatigue des soirées de la veille, la digestion lourde et agréable, les commentaires mous sur les matches, la couleur de la terre battue à l’écran, avant que les yeux ne se ferment…

Toute mon enfance.

Fridance 8 ça suffit

Salut les Luke, je suis votre père, nooooooooo !

Notre 8e boom blog se sera faite attendre, mais c’est parce qu’elle se faisait belle – c’est un mot qu’on dirait inventé pour elle.

Aujourd’hui, on BOSSE du bassin, on se DROGUE les épaules et on MASTERCLASS son ass, avec des moves complètement exumay des années nineties, tu sais les années get down !

Sans plus attendre, voici la bonne formule feeling du jour, à suivre avec nos 3 étapes de toujours :

OUN : Tu play la dernière perf’ sous perfs’ de Beyonce

DOS : Tu coupes l’horrible son qu’est sa nouvelle chanson

TLES : Par dessus, tu balance à fond la petite bombe du collectif Emmanuelle, “L’Abandon Des Bonnes Manières“, ouh quel nom coquin pour un gros sample de la Missy E…

“Scotty, augmentez le volume”
“Mais Capitaine Kirk, nous sommes déjà à 100%”
“ALORS MONTEZ A 110%, SCOTTY.”

Emmanuelle – L’abandon des bonnes manières by Emmanuelle

T’as vu comme elle est formidable, cette chanson ? Du coup, tu peux l’appliquer sur toutes meilleures vidéos de danse avec un son pourri cantonais. Genre celle avec des petits vieux bourrés, regarde ça work, c’est magic system :

Beyoncé ? Les bourrés ? Emmanuelle all the way !
ET C’EST TI-PARTI

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Je le jure devant Dieu

Si quelqu’un possède le temps et le talent de tricoter ceci :

Je pose genou à terre et fait le serment de le lui acheter et de porter dignement ce Companion Pull tous les mauvais jours que l’Hiver 2012 et ses descendants produiront.

Les instructions sont par ici, même si je n’ai presque rien compris.

For science fashion !

e-G8, les dessous

Ce G8 de l’Internet de notre petit Nicolas ressemble à une vaste blague. Mais surtout, à un complot contre les deux grands oubliés de ce projet: Bernard Kouchner… et Loïc. Je leur rends hommage.

Sous le parasol

Problème de riches, au sens de gens qui ont des bureaux cools. Le soleil du toit en verre nous obligeait à tirer les rideaux lorsque justement, il y avait du soleil. Cela plongeait par rebond nos nouveaux colocs’. Un peu con, tout de même. Du coup, nous voici protégés avec un grand parasol acheté pour l’occasion, dans une ambiance estivale 100% ombrage, 100% feeling.

Sous mon nouveau parasol, je pense beaucoup à Lense et à Decate (comment ça, encore).

Lorsque j’ai repensé tout Lense, j’avais peur que la communauté de la première heure ne refuse le changement radical que je voulais opérer. Peur qu’ils n’aiment pas le nouveau logo, l’approche plus complète, le nouveau rythme, la présence de pub, la présence d’ambition.
L’A.D.N essentiel de Lense a toujours été pour moi l’ambiance et le ton, que ce soient des évènements ou du site. Tout changer autour me semblait logique, nécessaire et surtout possible. Et ça a marché. On peut donc changer un projet en court de route. Une leçon que l’on voit souvent, mais que l’on vit différemment lorsque c’est notre bébé. Une leçon importante à retenir.

Decate vit également un passage au ralenti après la grosse fournée de Tshirts d’Avril. Réflexions. Ces premiers mois m’ont fait comprendre plein de choses, notamment ce qui est bon dans ce projet et ce qui doit changer. Et beaucoup de choses vont changer. Le modèle de concours communautaire était encore rigolo il y a 3 ans, lorsque je pensais à Decate. Je pense qu’il a désormais vécu.
Decate, vu les ventes, les retours et les envies, à tout pour grandir en tant que marque à taille humaine. Une marque qui produit ses tshirts et ses posters à travers de micro collections et qui invite des artistes au fil des thèmes et des rencontres. On verra. Cela se précise.

Finalement, ça chauffe dur, sous ce parasol.

Bad timing

Le mauvais timing, c’est rentrer de New York quand sa chérie part pour Londres. Du coup, mes rêves de gros week end câlin/glandouille se trouvent barrés par la Manche.

Le mauvais timing, c’est d’être en bouclage Technikart / Chronique du Week End / Glamour, alors que je rentre de New York, que j’ai la tête dans le fondement et des courbatures partout sans avoir fait de sport.

Le mauvais timing, c’est d’avoir des courbatures sans raisons satisfaisantes ,alors que j’ai promis à la chérie d’aller déposer ces 4 cartons qui me font face chez Emmaüs aujourd’hui, pendant qu’elle est à Londres.

Le mauvais timing, c’est de se lever à 16h00, quand Emmaüs ferme à 18h00.

Le mauvais timing, c’est d’être recouvert de courbatures d’une énorme envie de câlins quand sa chérie vient d’envoyer un sms “je suis bien arrivée à Londres, des baisers” et qu’on a déjà emballé une bonne partie de ses meilleures peluches d’enfance dans un carton pour Emmaüs.

Ok, je me recroqueville sur moi-même encore 5 petites minutes et j’y vais. Emmaüs, douche, chroniques, articles, courses. Juste 5 minutes, mon timing de reprise en main à moi.

En attendant, bouhouhouhou

Stop ou encore

Hop hop les cocos,

Je m’envole trois (très (trop)) petits jours à New York et un press tour Manfrotto. Yep, j’ai arrêté les press tour et les présentations, sauf occasion exceptionnelles et Photo, puisque je suis désormais encore plus l’actu pour Lense.Et là, ce sera pour Lense, je suis tout ému que l’on m’invite pour Lense et non pour mes publications, dans ma tête c’est un nouveau pas en avant pour sa reconnaissance comme un vrai site photo.

D’ailleurs, vous avez été sur Lense, c’est cool hein ? Allez, gogo. Lense. Go. Yeepee !

Des bises et à dans 3 jours, ptet avec un petit Fridance des familles \\O

Pour la Fr…ance !

Si Amélie Poulain glande en se demandant combien de personnes jouissent à un instant précis, la jouissance présidentielle me préoccupe pas mal.

Oui, depuis que Nicolas et Carla sont ensembles, je suis assez obsédé par l’image de leur couple en train de faire l’amour. Non pas que je fantasme sur la chose, bien au contraire : je n’arrive justement pas à imaginer Sarkozy tenant de chevaucher Carla, visualiser une levrette ou un cuni. Voire même leurs yeux qui se croisent pendant l’acte.
Sur Internet, “what has be seen cannot be unseen“, mais dans ma tête, je n’atteins même pas à la première phase, c’est juste “so wrong”, hors de mon mécanisme d’imagination, pourtant en burn out.

Alors depuis que les annonces de grossesse de Carla vont bon train, je suis encore plus circonspect : Comment arriver à reconstituer la phase de création de l’enfant, la séquence saillie ? Vous l’imaginez vous, le président, concentré, avec une veine visible sur la tempe, les yeux fermés, sur Carla, concentré pour jouir, pour engendrer un héritier et surtout, pour lancer sa campagne présidentielle 2012 ?

Et Carla, en dessous, vous la voyez inerte, en étoile de mer, la tête sur le côté, le regard vide et les soupirs simulés et vaguement réguliers ? Avec ce dialogue surréaliste ?

“Oui Carla, j’arrive, ok, j’arrive je crois.”

“OUI VOILA CARLA, POUR LA FR… ANNNNCE”

Et bim, jouissance, filet de sueur dans le dos, écroulade/roulade sur le côté et dodo.
Et je viens de me faire le film de conception de l’enfant électoral de Nicolas et Carla.
La seule chose qui me sauve de la dépression, c’est que je vous ai embarqué avec moi.

What has been read cannot be unread :))

m i s c f i v e