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lundi 18 février 2013

Emplois d'avenir : qu'en est-il de Malakoff ?

Le changement, c’est la réalisation de l’engagement 34 du candidat François Hollande : créer 150 000 emplois d’avenir en faveur des jeunes de 16 à 25 ans (jusqu’à 30 ans pour les travailleurs handicapés), peu ou pas diplômés pour leur permettre de rentrer dans la vie professionnelle et d’acquérir una vraie qualification et un emploi durable.

La mission locale intercommunale Archimède est très mobilisée sur le dispositif des emplois d’avenir. Aux collectivités locales  et aux associations d’y répondre.  Dans les 36 villes du département, 1 400 emplois sont prévus. Le Conseil général des Hauts de Seine n’en prendra aucun !
Le préfet a fait une répartion sur les 12 missions locales du département pour 2013 : sur le territoire des quatre villes de l’agglomération (Bagneux, Clamart, Fontenay aux Roses et Malakoff), ça correspond à148 emplois d’avenir, dont 18 dans le secteur marchand. Il reste donc 130 emplois d’avenir à pourvoir dans les collectivités locales, dans les associations et chez les bailleurs sociaux. Dans ce secteur non marchand, proportionnement au nombre d’habitants, cela équivaut pour Malakoff à 27 emplois d’avenir. La municipalité a décidé de s’engager à hauteur de 5 emplois d’avenir. Ce n’est bien sûr pas suffisant. Il faut espèrer que ce n’est qu’un début, que la mairie verra dans cette mesure le bénéfice de cette première expérience professionnelle pour les jeunes et l’encouragera.

Catherine Picard

Maire-adjointe PS de Malakoff
www.catherinepicard.net/

 

Rédigé le lundi 18 février 2013 à 17h03 dans Actualité, Actualité locale, Catherine Picard | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

lundi 11 février 2013

Une nouvelle page pour Malakoff (Tribune Malakoff Infos de Thibault Delahaye)

La concertation pour le Plan Local de l’Urbanisme (PLU) a largement commencé. Les premières réunions publiques ont été remarquables par la qualité des interventions et l’envie d’avancer ensemble.
Il faut dire que l’exercice n’est pas évident. D’abord parce que l’élaboration de ce qui va constituer le futur visage de notre ville va durer environ 3 ans. Ensuite parce que le PLU devra arbitrer entre des aspirations différentes, souvent même contradictoires, parfois légitimes. Enfin, peut-être surtout, parce qu’il faudra donner à un document très technique un contenu politique, une vision, un projet pour notre territoire. Sans quoi ce PLU ne sera ni compris ni partagé par tout un chacun. C’est dans cet état d’esprit que les socialistes de Malakoff participent à cette démarche commune.
Les enjeux sont nombreux. Enjeux d'aménagement du territoire, pour répondre notamment à cette réalité qu'est la "coupure" entre le nord et le sud de Malakoff. Enjeux sociaux, avec la nécessité de perfectionner notre richesse commune qu'est la mixité dans notre ville. Enjeux environnementaux, en intégrant systématiquement un nécessaire développement durable dans tous les projets. Enjeux économiques, avec par exemple le développement de nouveaux commerces et la création d'emplois. Enjeu métropolitain, en repensant la place de Malakoff dans ce qu'on appelle dorénavant "le Grand Paris".
Cette indispensable évolution doit être pensée, pour ne pas subir, pour ne pas céder à l'improvisation. Elle doit être équilibrée, pour aller plus loin dans le "vivre ensemble". Elle doit être organisée, parce que quelques soient nos choix, il faudra anticiper les conséquences notamment sur les transports, les équipements publics, les politiques sociales.

Malakoff a son histoire, son identité, qui font notre fierté, pour nous toutes et tous, d'y habiter. Mais c’est aussi un territoire vivant, dynamique. Voilà pourquoi nous ne devons ni vivre l'élaboration de ce PLU comme un exercice imposé, ni céder à l'immobilisme et au "surtout ne rien changer".
Pour cela, il faut une très large et sincère concertation, et nous vous invitons à y prendre place.
Pour davantage de solidarité, de dynamisme territorial, de mobilité, de vitalité économique.
Pour que ce ne soit pas un rendez-vous manqué. Pour écrire une nouvelle page dans la belle histoire de Malakoff.


Thibault Delahaye
Conseiller municipal PS
Administrateur de l’OPH Malakoff

Rédigé le lundi 11 février 2013 à 16h55 dans Actualité, Actualité locale, Thibault Delahaye | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

dimanche 20 janvier 2013

Réunion publique sur l'éducation le 24 janvier

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Rédigé le dimanche 20 janvier 2013 à 19h53 dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

jeudi 03 janvier 2013

Excellente année 2013

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Rédigé le jeudi 03 janvier 2013 à 00h12 dans Actualité, Vie du PS | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

lundi 08 août 2011

LES PRIMAIRES : Comment ça marche ?

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Rédigé le lundi 08 août 2011 à 12h50 dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

samedi 01 janvier 2011

Vœux 2011 du parti socialiste de Malakoff

L'année 2010, a été particulièrement marquée par un recul des principes et des valeurs que le Parti socialiste défend.

Nous avons assisté à la stigmatisation des immigrés, à la remise en cause de la retraite à 60 ans, à la privatisation rampante de la sécurité sociale, à la paupérisation de l'Education Nationale, à la confirmation des liens étroits entre le pouvoir de l'argent et la droite, à l'abandon d'une véritable politique de développement durable...

Toutes les valeurs de solidarité, de répartition, d'humanisme et d'éducation comme remparts aux inégalités sont bafouées tous les jours par notre gouvernement.

La Parti Socialiste se mobilise pour les défendre et a besoin du soutien de toutes et tous pour inverser ce processus.

A Malakoff, le parti socialiste défend ces valeurs de solidarité et de justice dans le cadre de la gestion municipale et à travers ses différentes actions.

 

Pour 2011, malgré ce contexte, le Parti Socialiste de Malakoff souhaite à chacune et chacun une bonne et heureuse année 2011, faîte de justice, de fraternité, d'espoir et de progrès.

 

Rédigé le samedi 01 janvier 2011 à 16h29 dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)

jeudi 03 juin 2010

JCall : l'espoir insubmersible

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Pour nous, juifs, évoquer Israël est un peu comme aborder soudainement la question du couple lors d'un repas entre amis : on peut s'avancer avec méfiance ou prudence ou au contraire embrasser la question avec chaleur et lyrisme, on peut aussi se retrancher dans des considérations vaguement sociologiques voire froidement biologiques... mais sous la surface lisse du discours, les eaux profondes se réveillent instantanément.

Si peu visibles soient-ils chez la plupart d'entre nous, les liens qui nous unissent à ce si petit pays n'en sont pas moins indéfectibles en raison de notre histoire si particulière. C'est ce qui me conduit à paraphraser le dernier titre d'Edwy Plenel : Israël sombre dans l'abîme et nous y entraîne avec lui.

Car pour un juif comme moi, qui se sent avant tout européen, dont la vie et l'éthique sont guidées par les Lumières à l'instar de la majorité des juifs de la planète, c'est une véritable gifle que la politique israélienne nous inflige en permanence par sa violence absurde, exprimant sa propre synthèse dans les événements de lundi dernier.

Cela fait maintenant des années qu'Israël tombe systématiquement dans les pièges tendus par ses plus fidèles ennemis : en s'engageant aussi aveuglément dans la surenchère militaire, il ne donne pas de meilleure justification à ceux qui en appellent à sa destruction.

Dès lors, je commence à avoir peur. Peur de l'image que les dirigeants israéliens et les plus extrémistes d'entre nous donnent au monde entier, peur pour les membres de ma propre famille sur place et plus généralement de l'isolement croissant des juifs progressistes qui, quoique l'on en dise, sont encore nombreux en Israël.

Et pourtant, à quoi d'autre pouvions-nous nous attendre de ce gouvernement aussi improbable qu'incapable, incarnant de surcroît le déshonneur des travaillistes israéliens puisque Ehud Barak a accepté d'y participer et semble s'enferrer dans sa tragique erreur ? Où a donc disparu la grande gauche idéaliste israélienne, naguère si puissante ?

La politique israélienne, au fil des ans, se réduit à la métaphore paroxystique d'un Occident en proie à un puissant retour de balancier vers la droite mû par la peur de l'avenir. Le cœur souffrant du monde, en somme, comme disaient si joliment Josy Eisenberg et Armand Abecassis dans "A Bible ouverte"...

Après tout, il faut peu de choses pour que nombre de citoyens, dans leur désarroi, répondent favorablement à la démagogie sécuritaire qui sévit en France et dans la majorité des autres pays occidentaux. Faut-il dès lors s'étonner qu'il en aille de même en Israël où les tensions politiques sont autrement exacerbées ?

Il n'empêche : je reste un soutien fidèle à Israël en tant qu'Etat, mais je condamne sans ambages la politique suicidaire conduite par l'actuelle coalition au pouvoir, et plus généralement depuis le début de la décennie. Et à ce titre, je ne fais jamais qu'exprimer une vue partagée par de très nombreux juifs de la diaspora. Nombre de journaux israéliens ne s'y sont d'ailleurs pas trompés, traitant leurs responsables politiques d'incapables et s'inquiétant à juste titre de l'impression donnée par Israël au monde entier.

Je fais partie de cette majorité des juifs, silencieuse et invisible, qui refuse la frénésie guerrière de ce gouvernement. Je suis de ceux que la propagande des quelques excités représentant la frange la plus extrémiste de notre communauté, complaisamment relayée par les médias, met de plus en plus mal à l'aise, de mauvaise humeur. Je me sens pris en otage par ceux qui crient continuellement à l'antisémitisme, qui justifient envers et contre tout jusqu'aux actions les plus inutiles et les plus odieuses, et qui, toute honte bue, instrumentalisent sans vergogne la souffrance indicible dont nous fûmes l'objet dans un passé encore fumant.

Il est grand temps pour nous de grossir autant que possible le chœur des voix de la paix afin que l'on puisse enfin l'entendre au travers du fracas des armes. Il est grand temps de soutenir ceux des israéliens dont le combat courageux en faveur de la paix épuise inexorablement les ressources. En un mot, nous devons leur redonner espoir, cet espoir insubmersible qui nous conduit à affirmer, au plus profond de l'obscurité, que la lumière n'est jamais loin.

Et la matérialisation de cet espoir, je la vois à travers une initiative sans précédent: le lancement du lobby JStreet aux USA, et dans la foulée, celui de JCall, son homologue européen. JCall a brièvement mais largement retenti dans la sphère médiatique suite à son "Appel à la raison" (d'où son nom) lancé depuis le parlement européen, le 5 mai dernier.

L'objectif de JCall et de JStreet est de mobiliser suffisamment de forces citoyennes de part et d'autre de l'Atlantique pour infléchir directement la politique israélienne et voir se concrétiser enfin ce vœu fameux : deux Etats pour deux peuples. Or, et c'est la grande nouveauté, ces deux groupes d'action ont été mis sur pied par des juifs.

C'est pourquoi, de la même manière que je me surprends à rêver à nouveau d'un printemps de la gauche en Europe, et en particulier en France, je poursuis ce rêve en imaginant cette brise printanière se propageant subrepticement jusqu'à ces lointaines contrées dont la marche du monde semble parfois dépendre. Bref, je désire ardemment que les Israéliens progressistes se ressaisissent et fassent disparaître cet exécutif de cauchemar de leur scène politique.

Pour finir, j'invite qui le désire à signer l'appel sur le site de Jcall. Je vous suggère aussi de lire le texte de David Grossman daté d'aujourd'hui et celui de Carlo Strenger sur le site de La Paix Maintenant (les amis français de Shalom Archav).

Je souhaite aussi attirer l'attention sur l'existence, pour ceux qui l'ignorent, du Centre Communautaire Laïc Juif (CCLJ), une association belge établie à Bruxelles, dont les activités et les débats sont très riches. Une telle dénomination donnera sans doute du grain à moudre à ceux qui s'imaginent que judéité et laïcité sont incompatibles...

Michaël

L’appel JCall : JCall

Le texte de David Grossman : David Grossman

Le texte de Carlo Strenger : Carlo Strenger

Le site de la Paix Maintenant : La Paix Maintenant

Le site du Centre Communautaire Laïc Juif (CCLJ) : Le Centre Communautaire Laïc Juif (CCLJ)

Rédigé le jeudi 03 juin 2010 à 14h01 dans Actualité, International | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

dimanche 14 décembre 2008

Ensemble contre le démantèlement rampant des services publics !

Aujourd'hui 13 décembre, un millier de personnes ont défilé à Paris, à l'appel de plusieurs intersyndicales d'établissements menacés de délocalisation ou de retructuration : Météo France, l'Office national des forêts, l'Institut national de recherches archéologiques préventives, le service d’études sur les transports, l'établissement national des invalides de la marine, les centres interministériels de renseignements administratifs et, venus les plus nombreux, les services statistiques publics (Insee, Dares, Drees, SOeS).

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Également dans le cortège, le Centre national de documentation pédagogique (CNDP), délocalisé par Jean-Pierre Raffarin dans sa terre d'élection, il y a six ans, à Chasseneuil-du-Poitou. Les mesures d’accompagnement promises par l’État n'ont pas suivi et doivent être finalement financées sur les ressources propres du centre. Très peu de personnel ont accepté de déménager et des cadres supérieurs se retrouvent recrutés sur des CDD très court, peu favorables à un investissement personnel fort et à une accumulation des compétences dans le Centre délocalisé.

Cet exemple récent est peu rassurant pour l'avenir de la statistique publique si le gouvernement devait confirmer sa délocalisation. Il est aussi une belle illustration de ces décisions prises sans réflexion sur les conséquences, ni sur les coûts, humains et financiers, à l'image de tant d'autres réformes qui s'accumulent depuis deux ans, de la carte militaire, des délocalisations annoncées pour les "compenser" et, plus largement, de la "revue générale des politiques publiques, la RGPP).

Cette façon de gouverner, en décidant en petits comités, sans concertation préalable, dans le mépris du service rendu au public et des agents du service public, n'est pas digne d'un Etat moderne et démocratique. Elle est plutôt le propre d'un autoritarisme qu'on avait cru à tort enterré avec le Gosplan.

Certains de nos militants étaient présents à cette manifestation pour défendre les services publics français contre leur démantèlent arbitraire.

Pour lire un article de Marianne sur les manifestations pour sauver la statistique publique : www.marianne2.fr/Les-revoltes-de-la-statistique_a110364.html?PHPSESSID=7038b81b4e4a02ca1f7f7c5d0052cf7d

Rédigé le dimanche 14 décembre 2008 à 23h49 dans Actualité, Actualité sociale, Services publics | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

mercredi 26 novembre 2008

Martine Aubry, nouvelle secrétaire nationale du Parti Socialiste

DISCOURS de MARTINE AUBRY à la MUTUALITE - Mardi 25 novembre 2008

« Le Parti socialiste est de retour »

Chers camarades, j'ai d'abord un seul mot à vous dire : merci.

Le second va immédiatement à Ségolène pour lui dire : on va, ensemble, gagner pour les Français, j'en suis convaincue.

C'est bien sûr avec à la fois beaucoup d'émotion et de gravité que je reçois la responsabilité que vous me confiez aujourd'hui en pensant d'abord aux femmes. Aux femmes qui se sont battues avant nous pour qu'existe une parité en politique : après que Ségolène ait été la première femme en France candidate à la présidence de la République, je suis fière au nom de toutes les femmes qui se sont battues d'être la première femme Première secrétaire du Parti socialiste.

Je voudrais dire aussi que je sens une responsabilité lourde, mais cette responsabilité lourde, je ne peux l'accepter que parce que vous êtes là vous les quelque 200 000 militants du Parti socialiste.
Cette responsabilité de premier secrétaire a été tenue par des hommes et des femmes éminents, François Mitterrand, Pierre Mauroy -que chacun comprendra que je salue particulièrement-, Lionel Jospin, Michel Rocard, Laurent Fabius, que je salue, Henri Emmanuelli aussi et bien sûr toi, François, à qui je pense tout particulièrement ce soir.

Je voudrais d'abord m'adresser aux militants. Aux militants parce que, dans ce congrès, jour après jour, soir après soir j'en ai rencontrés beaucoup, et que tous se sont battus pour ce qu'ils croient profondément, pour les valeurs du socialisme, pour la conviction qu'ils ont que ce qu'ils proposaient étaient les bonnes réponses pour les Français.
Je crois que nous avons su débattre et discuter à la hauteur de ce qu'est notre parti, un immense parti démocratique.
Alors, on peut rire, on peut se moquer de nos débats, de nos discussions mais j'ai envie de dire à la droite : riez encore quelques jours car dès la semaine prochaine le Parti socialiste est de retour dans les rues, et avec des propositions. Et uni.

Je voudrais dire à tous les militants : bravo pour ce travail. Je voudrais dire à Ségolène et à ses amis -dont je comprends aujourd'hui la réaction tout à fait naturelle - que nous avons tous défendu ce que nous croyons juste.
Je crois que si nous voulons changer ce parti, il faut d'abord que nous acceptions cela. Accepter que, dans un grand parti démocratique, nous puissions penser différemment en nous respectant et j'irai même plus loin, penser différemment en nous faisant confiance, en pensant que, en chacun d'entre nous, il n'y a qu'un seul souci, servir les Français et pour servir les Français, servir le Parti socialiste.
Si nous arrivons dans les jours, dans les mois qui viennent, à donner des signes concrets que cette unité du parti et de l'ensemble des militants est possible, ce congrès de Reims restera comme un congrès qui aura permis à notre parti, de changer profondément à un moment où le monde a changé et où les militants nous ont demandé de changer profondément et de nous renouveler.
Voilà un peu l'état d'esprit qui est le mien.

Les conditions dans lesquelles le vote a eu lieu et les résultats extrêmement serrés qui en découlent ne me donnent que des devoirs. Le premier devoir qui est le mien, c'est, si elle l'accepte, de rencontrer Ségolène. J'ai entendu, comme elle, ce que nous ont dit les militants à Reims et derrière les militants ce que nous ont dit les Français : « nous voulons retrouver la politique et la gauche, nous voulons un Parti socialiste qui nous défende alors que nous n'avons même plus le courage de nous battre car on a l'impression que nos voix ne sont plus entendues par les pouvoirs en place ». Oui, nous allons revenir avec les valeurs qui sont les nôtres, mais aussi avec les réponses d'aujourd'hui, ce qui nécessite beaucoup de travail. Puis, ils nous ont dit : « il faut renouveler profondément le Parti socialiste, ses pratiques, son fonctionnement ». Les voix qui se sont portées sur Ségolène comme d'ailleurs sur Benoît Hamon sont aussi des voix qui nous ont dit profondément que certains portaient plus que d'autres le renouvellement.
J'ai intégré cela depuis le premier vote des militants.

Notre prochain Conseil national sera sans doute fixé au samedi 6 décembre. Une ligne politique a été arrêtée avec une majorité lors du congrès, mais que, au-delà de cette ligne politique, ancrée à gauche, qui nous impose d'être sur tous les terrains pour défendre les Français, pour défendre les Français qui sont inquiets devant les licenciements qui arrivent, pour défendre les Français qui perdent en pouvoir d'achat, pour défendr

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