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Lundi 30 janvier 2012 1 30 /01 /Jan /2012 16:42

Entreprendre en famille : pas toujours facile !

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On dit que les entreprises familiales sont plus rentables et plus pérennes que les autres. Quand on sait que 60% des entreprises en France sont des entreprises familiales, il y a de quoi se réjouir, et pourtant …

Travailler avec son père, sa mère, son frère ou son conjoint n’est pas toujours facile. Où fixer la ligne entre vie privée et vie professionnelle ? Comment concilier la vision et les objectifs de la génération Y avec ceux qu’on appelle les anciens ?

J’ai la spécificité de travailler quasi exclusivement avec des entreprises familiales. Cela a toujours été une volonté de ma part car je sais alors que j’ai affaire à une situation toujours particulière : il y a une histoire, des valeurs fortes et souvent « un nom » à défendre.

Ces entreprises ont souvent de solides atouts : un très bon savoir-faire, une clientèle plutôt fidèle, un management de proximité, des règles de fonctionnement et une organisation simples. C’est souvent sur ce dernier point que j’interviens.

En effet, la plupart des PME familiales ont souvent pu développer un volume d’affaires important en maintenant un niveau d’organisation quasiment stable. Elles arrivent alors parfois à un niveau d’activité tel qu’elles ont du mal à faire face. Voici le type de situations que je j’entends auprès de mes clients : « on a grandi trop vite, nos méthodes ne sont plus adaptées au contexte, j’ai l’impression que des choses m’échappent, on n’est plus en phase avec notre marché, … ».

L’autre aspect de l’entrepreneuriat en famille, c’est que le style, le cursus, les idées divergent parfois entre les membres d’un même clan. C’est souvent le cas dans une relation « parents-enfants », les anciens veulent que l’on poursuive « leur œuvre », sans trop changer les choses, les jeunes, fraîchement sortis de l’école, veulent au contraire tout révolutionner : « comment, on a toujours pas de site web ?! »

Je pense que ce qui fait la force d’une entreprise familiale, c’est justement cette complémentarité qui peut exister entre les membres d’une même famille. Il faut pouvoir aussi reconnaître les manques et lacunes de certains.  Tout le monde n’est pas doué. Et c’est là qu’il faut être particulièrement attentif, est-ce que tout le monde est bien à sa place ?

Je vivais récemment cette situation chez l’un de mes clients qui a souhaité faire entrer sa fille, âgée de 25 ans, tout juste diplômée, dans l’entreprise (belle situation financière et fort développement). Quand j’ai rencontré cette jeune fille, je lui ai demandé ce qu’elle souhaitait faire et comment elle voyait sa place. Elle m’a répondu : « moi ce que je veux, c’est prendre la place de mon père et être PDG de l’entreprise d’ici 2 ans ».       

Et comme la jeune femme voulait tout remettre en question sur le plan des systèmes d’organisation, je lui ai conseillé d’apprendre d’abord ce qu’était l’entreprise et l’ai encouragé à aller travailler dans les ateliers, puis d’aller sur le terrain avec les commerciaux pour rencontrer les clients, puis d’analyser les différents postes administratifs et financiers. Je lui ai dit que cela prendrait un peu de temps, mais qu’elle pourra ainsi commencer à comprendre ce que c’est qu’une entreprise, car, malheureusement, ce n’est pas à l’école qu’on l’apprend.

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Par pascalpuireux
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Jeudi 19 janvier 2012 4 19 /01 /Jan /2012 11:13

Les français, champions du monde du pessimisme.

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Ca y est, on tient un record, pas très enviable certes, mais c’est un record du monde quand même : celui du peuple le plus pessimiste sur terre. C’est vrai qu’il n’y a pas lieu d’être véritablement optimiste en cette période incroyablement anxiogène, mais pourquoi nous, les Français, plutôt que d’autres qui pourraient l’être davantage compte tenu des difficultés bien plus grandes encore qu’ils connaissent.

Certes, la situation en France n’est pas très réjouissante : augmentation du taux de chômage, surtout chez les moins de 26 ans et les séniors, augmentation du coût de l’énergie (pétrole, électricité, gaz), augmentation du nombre de plans sociaux dans les entreprises, augmentation du coût de la vie, etc… etc…, comment voulez-vous que le moral, lui, ne baisse pas ?

Pourtant, la situation, même si elle est tendue, n’est pas pour autant catastrophique. Les entreprises poursuivent leur développement, de fabuleux projets voient le jour, des hommes se décarcassent au quotidien pour continuer d’avancer, des jeunes osent se lancer dans l’aventure entrepreneuriale, bref, chacun essaie d’avancer comme il le peut.

Néanmoins, et comme beaucoup de nos concitoyens (comme disent les hommes politiques), je pense que nous allons connaître une année difficile. Les élections présidentielles vont sans doute encore maintenir la pression sous la cocotte, mais dès le 3ème trimestre 2012, les choses devraient bouger considérablement. La compétitivité de nos entreprises sera difficile à maintenir et il y aura de la casse, c’est certain, et ceci, quel que soit le camp politique qui l’emportera car la crise est mondiale et ses impacts sont planétaires.

Alors comment anticiper les effets de cette lame de fond qui arrive et qui va impacter considérablement les entreprises, tous secteurs et toutes tailles confondues ?

Je pense qu’il  faut revenir très vite à des principes simples et de bon sens en mesurant notamment les points suivants :

-          Le niveau de trésorerie, de combien de cash disposez-vous ? l’argent est le nerf de la guerre

-          Le carnet de commandes, avez-vous une vision sur 1 semaine ou sur 6 mois ? Les clients, les clients, les clients …

-          Les investissements, quels sont ceux qui vous semblent prioritaires ? ceux à reporter ?

-          Les hommes, quel est le climat social, le niveau de motivation au sein de vos équipes ?

-          Les projets, quid de l’export, de la recherche, de l’innovation, … ?

A partir de ces quelques indicateurs-clés (et il y en a d’autres encore), il va falloir agir rapidement pour mettre en œuvre un certain nombre d’actions. Vous le ferez, entouré des hommes qui font l’entreprise car désormais, chacun doit pouvoir participer à la recherche d’idées et de suggestions, quel que soit son poste,  car tout le monde est concerné. Ce sont les entreprises qui créent la richesse.

Il faudra vraisemblablement repenser les systèmes en place dans les entreprises, notamment en matière de management, de pilotage et de reporting. Mais tout cela demande du temps, et du temps, vous n’en avez plus beaucoup. Agissez vite, repensez vos systèmes, tout ce qui était adapté à une certaine époque et qui, désormais, ne l’est plus.

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Par pascalpuireux
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Mercredi 4 janvier 2012 3 04 /01 /Jan /2012 16:31

Bonne année 2012 à tous les chefs d’entreprise … et bon courage !

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 C’est la période et c’est la tradition, vous recevez actuellement les vœux de vos partenaires, clients, fournisseurs, amis, famille, …

L’année 2012 sera sans doute encore marquée par les effets dévastateurs de la crise économique mondiale et beaucoup d’entreprises seront impactées. Certains observateurs économiques prévoient hélas en France et partout en Europe un nombre important de dépôts de bilan sur 2012 et 2013.

Depuis près de dix ans maintenant, j’accompagne les patrons de PME-PMI et je constate une difficulté de plus en plus grande des dirigeants pour faire avancer leur entreprise, assurer sa pérennité et beaucoup envisagent même de jeter l’éponge. La période que nous vivons actuellement est sûrement l’une des plus anxiogènes, mais n’est-ce pas dans ces périodes de fortes turbulences que l’on reconnaît les bons pilotes ?

 Il existe en effet des moyens de s’en sortir et je rencontre heureusement aussi des patrons qui savent saisir les opportunités créées par la crise, n’hésitant pas notamment à  mettre l’accent sur l’innovation, le développement à l’international ou bien encore le marketing produit, … 

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